gracedubois

" Tant que je bouquine, cela va bien."
Chateaubriand

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11 juin 2016

Un livre beau et frémissant. Lumineux dans toute sa noirceur, exaltant de toute l'infinie mélancolie qu'il dégage. Un message éblouissant adressé aux femmes brimées et perdues.
Au-delà de toute victimisation, Bénédicte Ombredanne tient les rênes de son destin, en tisse les fils et devient une héroïne indétrônable et inoubliable.
Eric Reinhardt, maître d'oeuvre d'un destin tragique et incandescent servi par une magnifique écriture.
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22,00
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11 juin 2016

Tout est joli dans ce livre. De jolis personnages, de jolis sentiments, de jolis tableaux, une jolie écriture, de jolies lettres. Pour finir, j'ai senti une certaine saturation de joliesse s'emparer de mon esprit...
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11 juin 2016

Après les sombres opus qui suivirent la mort d'Helen, Elizabeth George paraît résolument opter pour un ton plus léger.
Thomas Lynley semble enfin renaître de ses cendres, Barbara Havers faisant fi de toute déontologie se retrouve sur le fil du rasoir. De l'action, de l'humour, une amitié indéfectible, des rebondissements, des fausses pistes... La recette est éculée, mais elle fait merveille. Les héros fatigués, à défaut de voir le bout du tunnel, tournent la page . Et nous avec.
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11 juin 2016

C'est érudit et extrêmement documenté, tout en restant du domaine du possible, comme le précise son auteur. C'est aussi du Carrère et son immuable petit copain, dénommé son nombril.
C'est surtout une revisitation du Nouveau testament, remis dans son contexte historique, sociétal qui fait que je n'écouterai plus un texte de Saint Luc de la même façon. On touche du doigt ces Saints Apôtres très convaincus, bien sûr, mais finalement tellement humains.
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11 juin 2016

On finit par se lasser de ses personnages à la Foenkinos qui perdent en intensité ce qu'ils pensent gagner dans une marginalité de bon aloi, lisse et proprette. Sans surprise.
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